Un texte sur l'enfance perdue, celle de François Julien-Labruyère, dont le point de départ est la photographie d'une femme retrouvée noyée, un matin de janvier 1945, sur la plage de Royan. Un parallèle s'établit entre les souvenirs d'enfance du narrateur et l'histoire douloureuse de Royan avant, pendant et après la Seconde Guerre mondiale.