Avec ce sens du détail et de la couleur qui caractérise les peintres naïfs et donne à leurs oeuvres une saveur et une vérité auxquelles bien des tableaux apparemment plus élaborés ne parviennent jamais, le texte de Jean-Claude Timoléon Arcadias possède une remarquable vertu d'évocation sur ce qu'était le fleuve Charente au début du XXè siècle.